J'attaque le dernier Modiano

Publié le par Fab


 J'
ai terminé ce matin Barrage sur le Nil de Christian Jacq (voir note du 16 janvier). La fin m'a un peu déçue bien qu'elle soit assez inattendue. Dans l'ensemble, j'ai quand même beaucoup aimé. Aussi parce que, pour une fois, Christian Jacq délaisse l'Egypte des pharaons pour s'aventurer dans l'Egypte contemporaine.

Je n'aime pas être à cours de lecture. Dès que j'attaque un roman, je pense déjà à celui que je pourrais lire après. 
Après Barrage sur le Nil, je pensais me replonger dans un autre roman de Christian Jacq, Ramses, que j'ai lu il y a quelques années et que j'avais envie de redécouvrir. Et puis, aujourd'hui même, on vient de m'offrir le dernier Modiano : Dans le Café de la jeunesse perdue (Gallimard, 2007). Ca tombe bien, l'envie de l'acheter me démangeait.

Comme Christian Jacq, Patrick Modiano fait partie de mes auteurs favoris. J'ai lu de nombreux ouvrages de lui : La place de l'Etoile, Vestiaire de l'enfance, Villa triste, De si braves garçons, Voyage de noces, Rue des boutiques obscures, Dimanches d'août (j'ai d'ailleurs relus ces deux derniers romans cet été). 
A chaque fois, les mêmes thèmes avec des héros en quête d'identité, à la recherche de leur passé oublié, des bribes de souvenirs, de vieux clichés jaunis, des amis partis sans laisser d'adresse...
J'ai hâte de commencer et de vous raconter...
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